Manuel Rodriguez, qui n’avait pu fréquenter l’école, avait commencé à travailler très jeune et avait adhéré à la CNT et aux idées libertaires et avait acquis une très solide culture autodidacte. En 1931 il avait été l’un des délégués du syndicat du métal de Madrid au congrès national de la CNT.
Passé en France après la guerre, il continua d’y militer à la CNT de l’exil. Au milieu des années 1970, il avait dû être admis au sanatorium de Cambo les Bains où il devait décéder en 1980 et où il a été inhumé.