Manuel Vazquez avait combattu comme milicien dans les colonnes confédérales. Fait prisonnier par les franquistes, il était parvenu à s’évader et à passer en France où il fut interné en camp puis déporté en Algérie dans un camp du Sahara pour y travailler à la construction des lignes du Transaharien. Il ne retrouva la liberté qu’après le débarquement allié en Afrique du Nord. A la libération il s’installait en France à Sichilienne (Isère) où il militait à la FL-CNT de l’exil jusqu’à son décès le 16 janvier 1948.