José Martinez Rebollo militait dans les années 1930 au syndicat CNT de la construction de Cartagène. Après le coup d’État franquiste de juillet 1936, il avait gagné Barcelone où il milita à la Fédération Ibérique des Jeunesses libertaires (FIJL) de Sans et s’enrôla dans la Colonne Durruti où, après la militarisation, il eut le grade de lieutenant.
Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps. En 1942 il se serait évadé du camp du Barcarès pour gagner Perpignan, Toulouse puis Paris. Mais selon d’autres sources il pourrait avoir rejoint (ou avoir été affecté) à une Compagnie de travailleurs au barrage de l’Aigle (Cantal) où en 1944 il était l’un des 78 membres de la Compagnie espagnole (voir Juan Montoliu del Campo) du Bataillon Didier (FFI) qui participait à la libération de la Région.
Après la guerre il continua de militer en région parisienne où il décédait le 21 août 1979 à Pavillon-sous-Bois.