Francisco Martin avait émigré encore très jeune à Barcelone où il commença à travailler comme ouvrier briquetier et adhéra au syndicat CNT de la construction. Dès le début du coup d’État franquiste de juillet 1936, il s’était enrôlé dans les premiers groupes de miliciens confédéraux.
Passé en France lors de la Retirada il s’installa ensuite à Toulouse où il milita à la FL-CNT et à la Solidarité internationale antifasciste (SIA). Ce n’est qu’en 1948 que sa compagne et deux de ses fils, étaient parvenus à le rejoindre en exil.
Francisco Martin, qui à la fin de sa vie se faisait accompagner aux réunions par le compagnon José Mestres, est décédé à Toulouse en juillet 1989 et a été enterré le 19 juillet au cimetière de Cougneaux.