Lors du congrès des jeunesses libertaires tenu à Dijon le 13 septembre 1946, François Muñoz fut élu au Comité national de la Fédération des jeunesses anarchistes. Les autres membres du CN étaient G. Fontenis, P. Champs, Le Bourhis, S. Senninger, R. Robin, G. Mazzochi, M. Clavé, R. Souchay et L. Fassier. Il fut ensuite membre avec son frère Floréal de la commission d’autodéfense de la FA puis de la FCL.
Son domicile de la rue du Faubourg Saint-Antoine (11e arr.) figurait en 1950 sur les listes à surveiller par la police.
Le 24 juillet 1954 il participa à l’enlèvement en France de Niceto Pardillo Manzanero El Chaval, ancien membre en Espagne du groupe d’action de Wenceslao Jimenez Orive, qui s’était mis au service de la police et avait été à l’origine de l’élimination du groupe en janvier 1950. Très sévèrement corrigé, N. Pardillo sera laissé pour mort à 8 kilomètres de Pamiers (Ariège).
Lors des élections législatives de janvier 1956, il avait été l’un des 10 candidats présentés par la FCL dans le 1er secteur de Paris. Il travaillait alors chez Citroên et était syn idqué CGT.