Auguste Pradal était membre du groupe anarchiste d’Alger à la fin des années 1890 et collaborait au Libertaire (Paris). En octobre 1901, il avait été mandaté par le groupe libertaire d’Hussein-Dey pour assister au 4e congrès socialiste algérien.
En février 1902, il fit une causerie au local du groupe socialiste Le Prolétaire sur « le travail, ce qu’il fut, ce qu’il est, ce qu’il doit être » lors de leur assemblée générale. Il était alors membre selon l’annonce du « Groupe libertaire de Kouba ». Le 25 janvier 1903, il participa à une conférence à Birkadem (Birkhadem) puis une à Bormandreis (Bir Mourad Raïs) sur la « Mano Negra ». Un an plus tard, il parla en mars 1904 à la Maison du Peuple sur « les Communes à travers l’histoire ».