Etienne Falcoz, qui habitait 12 rue Pavée à Nîmes, avait remplacé en 1888 Emile Ferrieres dans un groupe d’aide aux déserteurs, fonction qu’il exercera jusqu’en 1890. Il s’agit sans doute de la Ligue des antipatriotes dont Falcoz était le trésorier et Ferrières le secrétaire. Les deux hommes étaient les signataires d’un Manifeste paru dans le numéro 2 (5 mai 1889) du journal belge Le Drapeau Noir (Saint Josse Ten Noode, 12 numéros du 13 avril au 29 août 1889).