Dès le coup d’État franquiste de jullet 1936, Prudencio San Martin s’était enrôlé das les milices confédérales et était parti pour le front d’Aragon.
Passé en France lors de la Retirada, il fut interné au camp de Bram puis enrôlé dans une Compagne de travailleurs étrangers. Pendant l’Occupation, il fut réquisitioné par les Allemands et envoyé travailler à l’îe de Jersey.
Après la guerre il continua de militer à la CNT en exil jusqu’à son décès en 1984 où il était membre du SOV-CNT de Saint-Denis.