Membre du groupe anarchiste de Trélazé en 1892, Émile Sevry était considéré comme « l’un des plus exaltés ». Perquisitionné en août 1894 à son domicile de La Pyramide, après que son nom ait été trouvé sur des papiers laissés par Sébastien Faure à Aix chez le compagnon Layet, la police n’y trouva rien. Pendant cette période de répression anti-anarchiste, il fit partie des compagnons qui décidèrent d’adopter une modération de façade.
SEVRY, Émile
Né vers 1853 au hameau de Sorges commune de Pont-de-Cé (Maine-et-Loire) — Ouvrier ardoisier — Trélazé (Maine-et-Loire)