Au début des années 1930, Manuel Rubia Ortiz était adhérent à l’UGT, le seul syndicat existant dans la comarcale de Rubite (Grenade). Après le coup d’État franquiste de juillet 1936, il adhéra à la CNT.
Passé en France à la fin de la guerre, il milita après la Libération à la FL-CNT de Bordeaux et fut membre du groupe local de la régionale CNT Andalousie –Estrémadure en exil. Il est décédé à Bordeaux le 12 février 1962.