Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

RICHAUD, Lucien, Louis

Né le 17 décembre 1872 à Belgentier (Var) — Jourbalier — Collongue (Bouches-du-Rhône) — — Toulon (Var) — Mison (Alpes-de-Haute-Provence)
Article mis en ligne le 13 mai 2014
dernière modification le 7 janvier 2025

par ps

Né de parents inconnus, Louis Richaud travaillaut au milieu des années 1880 aux ateliers des Forges et chantiers de La Seyne. Le 15 novembre 1887 i avait été avec Laurent l’un des assesseurs de la réunion publique organisée à Toulon par Dominique Fouque pour protester contre la condamnation à mort des anarchistes de Chicago. Il avait été condamné le 22 avril 1893 par la cour d’assises des Alpes-Maritimes à 5 ans de réclusion pour « incendie volon-aire ». Libéré conditionnel en juin 1895.iil fut envoyé en novembre 1895 à la section des exclus de l’armée à Toulon dont il était libérable en juillet 1898.
Il fut arrêté en avril 1897 pour « discours séditieux » Place Victor Hugo à Toulon. Libéré de la section d’exclus de Toulon le 2 août 1898, il quittait Le mois suivant Toulon pour une destnation inconnue. En 1902 il était localisé à Brignolles.

Il y a vraisemblablement identité avec L. Richaud, qui résidait à Mison (Bases alpes), tentait en 1909 d’organiser un groupe anarchiste dans les Basses et Hautes-Alpes.


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