Armand Cantal, qui demeurait Place de la république à Angers (ou Trélazé ?) figurait en 1894 et 1896 sur les listes d’anarchistes du Maine-et-Loire où il était signalé comme « dangereux ». Il vandait alors Le Petit Parisien à Trélazé et fréquenrtaut quotidiennement la cordonnerie anarchiste d’Henri Mercier dont il était devenu l’un des plus intimes amis. Fin août 1895, aux cotés de Bedout (?) et de Lelandais (assesseurs) il avait présidé la conférence tenue à Angers par Broussouloux et qui avait réuni 250 personnes.
En 1909 il fut inscrit au Carnet B comme « militant anarchiste dangereux » et était signalé comme fréquentant les milieux anarchistes de Trélazé. En mai 1914 il fut rayé pour ne se consacrer « qu’à la vente de journaux révolutionnaires ».