Bluteau était proche au milieu des années 1890 des militants anarchistes Mercier, Philippe et Maillard. Il s’occupait selon la police « d’une sorte de théâtre guignol » qui ne faisait « pas la part belle aux propriétaires » et faisait de la propagande. Sa femme, également anarchiste, fabriquait des fleurs artificielles qu’elle vendait « aux abords des ateliers, les foires et marchés ».
BLUTEAU
Angers (Maine-et-Loire)