Émigré à Barcelone, Antonio Gimeno y avait adhéré au syndicat CNT de la métallurgie dont il fut l’un des trésoriers.
Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps puis enrôlé dans un groupe de travailleurs étrangers pour aller travailler à l’usine Hispano Suiza de Tarbes où pendant l’Occupation sa famile put le rejoindre.
Après la guerre Antonio Gimeno continua de militer à la FL-CNT de Tarbes jusqu’à son décès survenu à Soues (Hautes-Pyrénées) fin 1996.