Militant du syndicat CNT du bois à Malaga, Enrique Ordoño fut partie à l’été 1936 de l’état-major des milices. En novembre 1936 il fut l’orateur d’un meeting tenu à Malaga. A la chite de la ville en avril 1937, il parvint à gagner la zone républicaine.

Passé en France loors de la Retriada, il était membre à la Libération à Rennes de la régionale de Bretagne de la CNT. En janvier 1945 il fut l’orateur du grand meeting tenu à Rennes oar la Junte espagnole de libération (JEL) qui réunissait toutes les organisations de l’exil à l’exception des communistes. Il fut également l’orateur pour la CNT du meeting commun CNT-UGT tenu à Rennes pour commémorer la 1er mai.

Lors du plenum régional tenu à Rennes les 24 et 25 juin 1945, il fut nommé délégué de la CNT à La JEL et fut l’un des orateurs avec Jesus Canuto et Salvador Cornill du meeting de clôture du plenum. En 1946 il fut avec Antonio Fernandez le coordinateur du groupe anarchiste Faro qui regroupait les anciens militants anarchistes de Malaga. Cette même année 1946 il participa à un meeting à Cherbourg aux cotés de Puig Elias.

Lors de l’assemblée plénière tenue le 4 juin 1947, il fut nommé secrétaire de la FL-CNT de Rennes aux cotés de Martin Villarupla (secrétaire adjoint), Bernal (trésorier), Esteve (propagade) et Jimeno (solidarité).

E. Ordoño fut l’administrateur de Nervio (Paris, 1958-1960, 19 numéros), organe de la régionale d’Andalousie-Estrémadure de la CNT en exil dont le directeur était Francisco Olaya Morales, puis collabora à El Rebelde (Toulouse, 1961-1968, 44 numéros) qui avait pris la suite. Il résidait alors 73 rue de Flandres à Paris XIXéme arr.