Exilé en France, C. Marti y participa à la Résistance dans les Pyrénées-Orientales. Le 18 août 1944, avec trois autres militants de la CNT — E. Fernandez, son beau frère Navarro, J. Gaya — il participait à l’attaque de la caserne de la milice où le groupe s’empara d’un certain nombre d’armes abandonnées par les miliciens en fuite. Le lendemain 19, lors des combats pour la Libération, il participait à l’attaque de la Poste où il y avait un groupe d’allemands qui prirent la fuite et où ils firent un prisonnier.