Militant depuis son adolescence de la CNT de Constantina (Sèville), Eduardo Silva était parvenu après le coup d’État franquiste de juillet 1936 à s’enfuir puis à s’embarquer clandestinement sur un navire anglais à destination d’Oran d’où deux jours plus tard il s’était embarqué pour revenir en zone républicaine.
Exilé en France après la guerre, il milita à la FL-CNT de Brive jusqu’à son décès survenu dans cette ville le 16 mars 1975.