Sprysl avait été condamné avec Stepanek début 1897 à Prague à 21 jours de prison pour avoir crié « Vive l’anarchie » lors d’une manifestation de sans travail. Deux autres compagnons, Tichovsky et Vaeik avaient également été condamnés respectivement à 15 jours et à 6 semaines de détention.
SPRYSL
Prague (Tchécoslovaquie)