Paul Siguret était domicilié à Bordeaux 7 rue Pillet ou bien chez la « mère des menuisiers » rue Sainte-Colombe. En 1886 il était le secrétaire du groupe anarchiste Le forçat du travail et collaborait au journal du même nom (voir Bienvault).
Il y a sans doute identité avec le Siguret, signataire dans La Révolte (31 août-6 septembre 1890) d’un appel en faveur de la création d’un quotidien libertaire qui fut également signé par Bernhart, Cabot, Coudry, Courtois, Duffour, Millet, Paul Reclus et Tortelier.