Peguy, qui se faisait également appelé Guyomard et se disant ingénieur, était en 1934 l’un des responsables avec Montgon de la fédération anarchiste du Roussillon adhérente à l’Union anarchiste communiste (UAC). Il collabora à une nouvelle série du journal L’Action Révolutionnaire (Paris, 6 numéros du 9 novermbre 1933 au 19 février 1934, puis 2 numéros en mars 1934) publiée par Lucie Huberty et R. Podevin. Toutefois, en mai 1894, L. Mongon et les militants français du groupe de Perpognan, indiquaient dans un communiqué paru dans La Voix libertaire qu’ils n’avaient “rien de commun avec l’organisation dénommée Fédération anarchiste du Roussillon” et qu’ils avaient cessé toute relation avec Péguy. Début 1935, toujours dans La Voix libertaire, il était dénoncé comme ayant ayant fait faillite de la coopérative qu’il avait monté, d’être parti sans avoir payé les ouvriers et d’être sans doute un mouchard à la suite de l’arrestation de plusieurs compagnons espagnols.