En 1938 Emmanuel Pascotto, né de parents italiens et membre depuis de nombreuses années du mouvement anarchiste, militait à la section de Collobrière (Var) de la Solidarité Internationale Antifasciste (SIA). Dans un rapport de police sur les abonnés au Libertaire, il était qualifié de « très violent en paroles, n’aimant pas les représentants de l’ordre » pouvant être « très dangereux en cas de conflit ou d’émeute ».
Son nom apparaissait régulièrement à la fin des années 1940 dans les listes de souscriptions au Libertaire, l’hebdomadaire de la Fédération anarchiste.