Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

JEAN, Charles, Jules

Né à Mens (Isère) le 30 mai 1884 — CGT — Marseille (Bouches-du-Rhône)
Article mis en ligne le 11 janvier 2008
dernière modification le 23 juillet 2024

par R.D., René Bianco

Charles Jean qui habitait 41 traverse Albe à Marseille et n’avait aucun lien de parenté avec Théodore Jean, était en 1911 membre du groupe des Jeunesses Syndicalistes Révolutionnaires (JSR) avec entre autres Frédéric Bruguière et avait adhéré la même année au Comité de défense sociale (CDS) dont les responsables locaux étaient Alexis Durand et Auguste Girard. Il fut le trésorier adjoint de la Jeunesse syndicaliste aux cités de Alphonse Max (secrétaire), Jules Teulade (secrétaire adjoint) et Alphonse Roux (trésorier). En mai 1912 il fit partie de la commission d’organisation du syndicat des locataires. L’année suivante il fit partie du Groupe d’Etudes sociales qui réunissait des anarchistes de toutes tendances. En novembre 1913 il participa avec avec Jacques Casanova à la fondation du journal La Gifle (Marseille, au moins 2 numéros les 1er et 15 novembre 1913) dont le gérant était H. Cachet Lux et qui portait en épigraphe « La lutte existe, osons la vouloir ».


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