José Hernandez Pérez avait adhéré au syndicat CNT du métal de Barcelone où il avait émigré depuis son enfance.
Exilé en France après la guerre civil, il a participé, pendant l’occupation à la résistance dans les maquis du Cantal (barrage de l’Aigle) — où en 1944 il était l’un des 75 membres de la compagnie espagnole (voir Juan Montoliu del Campo) du Bataillon Didier (FFI) — puis en Corrèze.
Après la guerre il a milité à la FL-CNT de Mulhouse. José Hernandez Pérez est mort le 18 août 1986 à Mulhouse où il a été incinéré.
Son frère cadet [Juan Hernandez Perez — >http://losdelasierra.info/spip.php?article3617] était également un militant libertaire et avait participé à la clandestinité à Barcelone sous le franquisme.