Militant anarchiste et syndicaliste de la CGT-SR, Giralt appartint au groupe international de la colonne Durruti dès sa création. Blessé lors de la prise de Sietamo, il fut hospitalisé à Barcelone. Retourné au front avec ses camarades, il fut tué à Perdiguera le 16 ou 17 octobre 1936 : lors d’une offensive dans la sierra de Alcubiere, une partie du groupe international pénétrait dans Perdiguera, mais se retrouvait isolé du gros des troupes ; encerclé par les troupes maures et après un combat acharné, au moins quinze membres français du groupe international –dont Giralt, Berthomieu, Trontin, Boudoux — et de nombreux compagnons allemands étaient déchiquetés par des grenades à main.
GIRALT (ou GIRAL ?)
Tué le 16 ou 17 octobre 1936 — CGTSR