Francisco Nicolas avait été fait prisonnier à la fin de la guerre et avait été interné au camp de Miranda de Ebro. Profitant d’un convoi de travailleurs venus construire un pont, il parvint à s’évader et à passer en France.
Après la Libération il milita à la FL-CNT de Nantes. Il est mort le 12 avril 1975 à Archena (Murcie).