Militant individualiste, on retrouve la signature d’Ologue le cynique dans l’hebdomadaire individualiste L’anarchie de 1907 à 1909. Dans un courrier, en octobre 1908, de Eugène Merle adressé à Charles Hotz, ce premier parle d’un "Jérôme l’unijambiste, pardon Ollogue le Cynique".
Dieudonné, qui l’avait connu aux causeries du journal L’anarchie, disait de lui : « Un phénomène, celui-là ! II jette la note gaie, dans nos réunions comme dans les colonnes du journal, par ses extravagances, ses paradoxes. Il marche en sandales, porte lunettes et a toujours un livre sous le bras. Mais ce n’est pas par snobisme. Il lit un livre par jour ! […] Vous pouvez [l’]interroger sur n’importe quel livre de n’importe quel auteur français. [Il] les [a] tous lus, [il] en [est] à les relire et aux « vient de paraître. Ologue aimerait bien faire son petit Diogène — son maître ! — mais il est employé aux PTT, scribe, « ô horreur ! », dit-il, et il lui faut porter veston ou jaquette. Il n’est Diogène que par ses sandales — il affirme à son bureau qu’il a mal aux pieds — et par son esprit, qui est intarissable. Il écrit aussi, comme il parle, en vrai cynique. »