C’est encore très jeune, alors qu’il travaillait comme tailleur de pierres que Joaquin Marin avait adhéré à la CNT de Utrera (Séville) fondée notamment par un de ses grands pères. Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936 où l’un de ses frères fut fusillé par les franquistes, il parvint avec un autre compagnon à gagner la zone républicaine, s’y intégra aux milices confédérales et participa aux com-bats jusqu’à la Retirada où il passa en France, fut interné dans divers camps et enrôlé das les Compagnies de travailleurs étrangers.
A la Libération il se trouvait en Ariège où il participa à la reconstruction de la CNT. Puis il résida et continua de militer à la CNT à Tarbes et à Bayonne. Il est décédé à Pau fin 1985 ou début 1986.