Réfugié en France, A. Canalis, qui était sans doute parent du militant libertaire Amado Canalis, était amputé d’un bras. En 1944 il se trouvait dans la zone Montauban (Tarn-et-Garonne) où, suite à un parachutage, il avait été le dépositaire d’un mortier destiné à la Résistance. En août 1944, membre d’un détachement espagnol de la 4e Brigade il l’utilisait lors des combats pour la Libération de Montauban dans lesquels il était tué le 19 août par un tir de mortier allemand.
CANALIS, A.
Tué le 19 août 1944 — CNT ? — Espagne — Montauban (Tarn-et-Garonne)