En 1893 Alfred Scalabre résidait 59 rue des Coches et 7 Impasse des saintes Claires à Amiens et avait été charge de récolter des fonds pour éditer un manifeste de protestation contre l’alliance franco-russe. Il recevait parfois des colis de brochures expédiées d’Angleterre. Le 21 novembre 1893, comme d’autres compagnons d’Amiens, il fut l’objet d’une perquisition qui ne donna aucun résultat. Il fut radié de l’État des anrchistes de Reims de 1896.
En 1900 l’ancienne femme du compagnon Victor Muller, Louise Berwick, vivait avec lui 69 rue de Stasbourg à Reims où tous deux avaient cessé de fréquenter les anarchistes.