En septembre 1892, Léon Haesig demeurait 35 boulevard Chateaudun à Saint-Denis.
Le 21 octobre 1893, il était condamné à 6 jours de prison, pour complicité d’escroquerie.
Léon Haesig figurait sur l’état récapitulatif des anarchistes au 26 décembre 1893. Il demeurait alors 34 rue Compoise à Saint-Denis.
En 1894, il fut exempté du service militaire pour perforation du tympan et otite chronique.
Arrêté le 14 avril 1894, pour association de malfaiteurs. Il était probablement libéré le 18 avril (le document de la Préfecture de police indiquait 18 mars).
Léon Haesig était porté sur l’état récapitulatif des anarchistes au 31 décembre 1894, il demeurait chemin de Stains à Stains.
Le 19 novembre 1895, il était condamné à 2 mois de prison pour vol.
Sur l’état du 31 décembre 1896, il habitait 5 rue du Chevet de l’Église à Saint-Denis.
Il se mariait le 12 juin 1897 à Saint-Denis avec Maria Dymphna Jespers, ménagère. Il demeurait 34 rue de la République. Leur divorce était prononcé le 30 mars 1905.
Le 19 mars 1901, il était condamné à 16 fr. d’amende pour coups. Sur l’état de 1901, il était noté qu’il avait quitté le département.
En 1906, il était chauffeur et demeurait 26 quai de la Seine à l’Ile-Saint-Denis.
Il se remariait le 2 juin 1906 à l’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) avec Marie, Philommène, Mathilde Coquelle, ménagère.
Affecté au 34e régiment territorial d’infanterie à Fontainebleau le 11 octobre 1915, il ne rejoignait pas son régiment et fut déclaré insoumis le 30 octobre 1915. Il fut rayé des contrôles de l’insoumission le 31 mars 1926.
Son dossier à la Préfecture de police portait le n° 327. 678.