Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

GHERRA, Pepita

Argentine
Article mis en ligne le 28 septembre 2019
dernière modification le 7 janvier 2025

par R.D.

Pepita Gherra (orthographié aussi Guerra) avait commencé à travailler dès l’âge de 12 ans. Collaboratrice de l’organe communiste anarchiste La Anarquia (La Plata, 26 numéros du 27 janvier 1895 au 3 avril 1898) dirigé par José Junco Rojo et de l’organe communiste anarchiste La Revolucion Social (Buenos Aires, 1896), Pepita Gherra fut également l’une des responsables de l’organe féministe anarchiste La Voz de la mujer (Buenos Aires, 9 numéros du 8 janvier 1896 à janvier 1897) aux cotés notamment de V. Bolten, Teresa Marchisio, María Calvi et Anita Lagourdette. Elle y fut l’auteure d’articles féministes, de contes pédagogiques et de poèmes — dont El Grito de la plebe — souvent lus lors des orties champêtres ou des réunions syndicales.


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