Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

TARIN MARTINEZ, Joaquin

Né le 24 avril 1899 à Sueca (Valence) — mort le 4 mars 1987 — Marin — CNT — FEDIP — Tarragone (Catalogne) — Lyon (Rhône) — Perpignan (Pyrénées-Orientales)
Article mis en ligne le 9 mai 2019
dernière modification le 17 septembre 2024

par R.D.
Joaquin Tarin Martinez

Joaquin Tarin Martinez avait commencé à militer très jeune et avant la guerre avait travaillé comme marin dans la marine marchande. Pendant la guerre il avait été affecté à une brigade de carabiniers. Passé en France lors de la Retirada il avait été interné dans divers camps et sans doute enrôlé dans les Compagnies de travailleurs étrangers. Il fut déporté au camp de concentration de Mauthausen (matricule 6185) où il parviendra à survivre jusqu’à la libération en mai 1945. Rapatrié en France il s’installa d’abord à Lyon, puis à sa retraite à Perpignan où il était membre dans les années 1980 de la Fédération espagnole des déportés et internés politiques (FEDIP) des Pyrénées-Orientales et dont il avait été nommé président. Puis il était revenu das son village natal de Suecia où il décédait le 4 mars 1987.


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