A l’été 1900, Lucien Jalabert, qui demeurait 67 rue Hoche, servait de boite aux lettres au groupe anarchiste de langue italienne de Marseille. Il avait été signalé au début des années 1900 comme ayant disparu de Marseille.
Toutefois en 1903 un Jalabert, avec notamment Auguste Berrier, Mazan, Barral et Eugène Merle, fut l’un des principaux promoteurs de la Société pour la création et le développement d’un « Milieu Libre » en Provence, projet qui réunit 95 adhésions mais qui n’aboutit pas. Il pourrait s’agir de Lucien.