Siméon Bonnemaison, qui était le beau père du compagnon Deymié, avait été fiché au début des années 1890 comme anarchiste pouvant devenir dangereux. Il avait été condamné à 2 reprises en simple police pour avoir « promené le drapeau rouge dans les rues de Carmaux ». Demeurant rue Sébastopol, il figurait en 1895 sur l’état des anarchistes de Carmaux (1ere catégorie, dangereux)
BONNEMAISON, Siméon
Né en 1864 à Carmaux — Mineur — Carmaux (Tarn)