Début 1901, René Gendot, qui demeurait 116 rue du Chemin Vert, avait été signalé comme un actif propagandiste antimilitariste membre du groupe le Pot à colle ».
Signalé disparu de Paris en mai 1903, René Gendot dit Gendoz avait été inscrit à l’état vert n°4 des anarchistes disparus et/ou nomades.
En 1904 il se trouvait à Londres d’où il correspondait avec Le Libertaire pour se solidariser avec le compagnon Pivoteau avec lequel il avait travaillé autrefois et qui venait d’être condamné pour le meurtre d’un contremaître à la suite de son licenciement. Il appelait notamment à ouvrier une souscription en sa faveur à faire parvenir à la mère de Pivoteau.