Michel Morin demeurant aux Plaines (Trélazé) avait été fiché en 1892 comme « exalté » et exerçant une certaine influence. Le 18 février 1894 il fut l’objet d’une perquisition où la police avait saisi plusieurs numéros de La Révolte, Le Père Peinard, L’En Dehors, La Revue anarchiste internationale, diverses brochures, L’Almanach du Père Peinard pour 1894, une chanson manuscrite Le peuple vient à l’anarchie et de la correspondance.
MORIN, Michel [Étienne, Denis dit Michel]
Né le 17 septembre 1853 à Angers — Fendeur d’ardoises — Trélazé (Maine-et-Loire)