Domicilié 26 rue de Toul (XIIe arr.), Émile Masson était dans les années 1910 membre des Jeunesses syndicalistes de la Seine et fiché comme antimilitariste. Au printemps 1916 il était mobilisé au 3e régiment du génie.
S’agit il du Émile Masson qui au printemps 1930 avait été autorisé à rendre visite à Jean Ribeyron, « détenu politique » de l’UACR à la prison de la Santé et qui était alors domicilié 224 rue de Vanves à Paris ?