Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

ORTOLA, José

Né en 1914 à Oliva (Valence) — mort le 16 août 2000 — MLE — CNT — Valence (Levant) — Paris
Article mis en ligne le 22 juillet 2016
dernière modification le 7 janvier 2025

par ps

Né dans une famille paysanne qui sera décimée après la victoire franquiste, José Ortola avait été soldat dans l’armée républicaine avant de passer en France lors de la Retirada et d’être interné dans divers camps puis d’être enrôlé dans les compagnies de travailleurs étrangers. A la Libération il s’était installé en région parisienne. Membre de la FL-CNT de Paris, c’est lors d’une fête organisée salle Susset par la CNT qu’il rencontra sa compagne Janine dont il aura deux enfants. Après sa retraite, il allait chaque lundi à l’Imprimerie des Gondoles pour y assurer les envois du journal Cenit. José Ortola est décédé à Ivry sur Seine le 16 août 2000.


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