Domicilié au début des années 1900 à Brest, 16 rue Lars, Sébastien Morio était ouvrier à l’arsenal et était membre du syndicat des ouvriers du port. Fiché comme libertaire antimilitariste, la police signalait en 1909 qu’il était “susceptible de faire du sabotage en cas de mobilisation”.
Retraité à Le Relecq-Kerhuon, il figurait toujours en 1935 sur l’État des anarchistes du Finistère.