Marié et domicilié 112 rue de la Vierge, Paul-Marie Le Bot travaillait au débit des années 1900 à l’arsenal de Brest et était membre du groupe la jeunesse syndicale. Fiché comme « Libertaire, antimilitariste, susceptible de faire su sabotage en cas de mobilisation », la police le signalait le 4 mai 1909 comme « un des libertaires les plus violents de l’arsenal, capable de créer l’agitation dans les milieux ouvriers et d’organiser la révolte contre le régime actuel ».
Le Bot était en 1912 membre du cercle néo malthusien de Brest.