Le 30 septembre 1900, avec les jeunes Jean Marie Bregnaud et Vincent Lhenry, Auguste Mathey se trouvait dans un bal à Montchanin où ils auraient causé du scandale. A l’arrivée des gendarmes ils avaient crié « Vive l’anarchie ! Vive la Commune ! A bas la patrie ! A bas les pandores ! ». Le 5 octobre suivant, à Chalon il fut condamné à 1 mois de prison avec Bregnaud tandis que Lhenry écopait de 8 jours.
MATHEY, Auguste
Né vers 1882 — Mineur — Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire)