Rafael Hernandez avait commencé à militer à la CNT à Madrid. Puis il était parti pour Malaga où il continua de militer et participa à la résistance au coup d’État franquiste de juillet 1936. Après la chute du front il parvint à se réfugier à Gibraltar. Puis, sans doute à la fin de la Seconde guerre mondiale, il alla s’installer en France à Montpellier où il allait épouser sa compagne, et où il milita à la FL-CNT et à la section locale de la Solidarité internationale antifasciste (SIA).
Rafael Hernandez, qui avait dû être amputé d’une jambe à Montpellier, est décédé le 3 juillet 1975.