Johann Schenck avait été signale au début des années 1880 comme anarchiste à Saint-Gall où selon la police il était membre de la « section de propagande pour l’action » et était qualifié de dangereux. Début octobre 1884 il avait gagné Genève, puis faute d’y trouver du travail, était parti pour Lyon (Rhône) où il fréquentait de nombreux anarchistes. A la fin octobre la police signalait son départ pour Vienne (Isère).
Il y a sans doute identité avec Gustav Schenck qui au début des années 1890 s’était réfugié à Londres. Son nom figurait au début des années 1890 sur une liste d’anarchistes établie par la police des chemins de fer en vue d’une surveillance aux frontières.