Militant de la CNT de Gijon et ouvrier verrier, José de Arriba avait du fuir en France pour échapper à la répression de la révolution d’octobre 1934 aux Asturies. Le 29 janvier 1935, il fut arrêté lors d’un contrôle à Choisy, enfermé plusieurs heures dans un cachot avant d’être conduit à la Préfecture de police où, faute de papiers en règle, il fut l’objet le 31 d’un arrêté d’expulsion, le droit d’asile lui étant refusé ce qui entraîna notamment une protestation d’Adrien Perrissaguet qui le connaissait personnellement.
En 1936 il était membre du groupe Solidaridad de la Fédération anarchiste ibérique (FAI) de Gijon et l’année suivante membre du conseil ouvrier de la verrerie où il travaillait.