Insoumis au service militaire, Francisco Ridao s’était embarqué pour Cuba d’où, après un bref séjour, il alla s’installer aux États-Unis où il allait militer toute sa vie. En 1926 il souscrivait en faveur des prisonniers politiques dans La revista blanca (Barcelone).
Au début des années 1960 il résidait en Californie à Vacaville et soutenait financièrement de nombreux journaux anarchistes et notamment Tierra y libertad (Mexico) auquel il collaborait. Il collabora également à Nervio (Paris, 1959) et au Combat syndicaliste (années 1960).
Francisco Ridao est décédé en 1975 à Vacaville où il a été incinéré.