Fiché comme “exalté” dès 1892, Ferdinand Lebreton dit Mastoc qui résidait au village de la Chanterie figurait sur les listes d’anarchistes du Maine-et-Loire de 1894 et de décembre 1896.
Au début des années 1890 il travaillait comme ouvrier aux carrières de La Grande Maison, après avoir été renvoyé des carrières de Fresnaies (?) et était qualifié “d’anarchiste très exalté”. Il avait été condamné en août 1869 (ou 1867 ?) à 16 francs d’amende pour « coups et blessures ».
Il fut président de la Chambre syndicale des carriers reconstitué en 1895 dont Georget en était le secrétaire). L’un et l’autre « appartiennent à la plus importante fraction militante du parti anarchiste ».Tous eu avaient activement partiipé à la grèe de 1891.
En 1900 i souscrivait et collaborait aux Temps nouveaux auquel il donna divers textes destinés au Congrès Ouvrier Révolutionnaire International qui aurait dû se tenir à Paris.
Militant de la CGT, il fut lors de la grève de 1910, le trésorier du comité de grève.
Ses frères, Émile et Charles, étaient également fichés comme militants anarchistes.