Mounier était membre en 1887 du groupe anarchiste de Nîmes qui se réunissait au café Boissas rue Porte d’Alès.
Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.
Mounier était membre en 1887 du groupe anarchiste de Nîmes qui se réunissait au café Boissas rue Porte d’Alès.