Yvon Boye avait été inscrit à l’état vert n°1 des anarchistes disparus et/ou nomades. Se disant voyageur de commerce pour une marque d’ antiseptique de la Place Vendôme à Paris, il fut signalé de passage à Barcelone en juin et octobre 1895. Il était accompagne par une femme qui jouait de la (...)
Ouvrier brossier de profession, Jean Boyer dit Joanny demeurait avec sa compagne Marie Paquet Monnet ancienne compagne de Taveau, au 49 rue Saint-Antoine. Le 20 novembre 1893 il avait été l’objet d’une perquisition où la police avait saisi divers documents Lors d’une nouvelle perquisition le (...)
Émigré en France, Francisco Boya était revenu en Espagne dès le début du coup d’État franquiste de juillet 1936 pour y participer à la lutte et à la révolution. Repassé en France lors de la Retirada, il travaillai comme mineur sur divers chantiers des Pyrénées et milita à la FL-CNT de (...)
Marué et père d’un enfant, Albert Boyer dit Bertal travaillait à la fin des années 1930 comme dessinateur à la Société de constructions aéronautiques du Sud-Est (anciennement Établissements Romano) de Cannes La Bocca où en 1938 il était le délégué du syndicat des techniciens de l’usine où (...)
Militant du syndicat CNT de la construction de San Andres del Palomar (Barcelone) dès la fondation de la CNT, Hermenegildo Boyé avait été déporté pendant la dictature de Primo de Rivera. Lors de la fondation de la République en 1931, il avait été l’un des fondateurs de l’Ateneo libertario et (...)