Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

CORTES, Mariano « ALTAÏR »

Buenos Aires ?
Article mis en ligne le 21 août 2024

par R.D.

A la fin des années 1890 et au début des années 1900 Mariano Cortes Altaïr collaborait aux revues Ciencia Social (Buenos Aires, 1897-1900) et La Questione sociale (Buenos Aires, 1894-1896) qui l’avait précédé, et publiées par la Librairie sociologique de Fortunato Seranton qui édita sa conférence Fundamentos y lenguaje de la doctrina anarquista (1er mai 1900)i. Ultérieurement il collabora à Rumbo Nuevo (Buenos Aires, 1906) et aux revues uruguayennes Futuro et Natura (Montevideo). Il intégra ensuite la rédaction de La Protesta. Il est l’auteur en 1904 du prologue de La Anarquia antes de las tribunales de P. Gori et le traducteur d’un texte de Kropotkine.


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