Francisco Moya Barrientos militait en Espagne au syndicat CNT des transports de Malaga.
Passé en France il continua de militer à la CNT en exil où il appartenait à la régionale andalouse. Après la Libération il travailla au barrage de Roquefort sur Sault (Aude) où, à la suite d’un accident du travail, il avait dut être hospitalisé à Toulouse où il décédait à l’hôpital de la Grave le 15 juillet 1950 et était inhumé au cimetière de Salonique.